Préparation :
04h30, Je quitte mes collègues rigolards (ils savent pour la ballade de 1200Km sur mon tracteur), qui gentiment ont pris sur eux de se passer de moi pour la fin de la nuit…
Chez moi, la pensé d’un bain brûlant, me fait vite renoncer, à tord, sans remord à la révision du paquetage emballé la veille….Je décide de faire un tour sur le forum, bien m’en a pris car TWin prévoyant nous donne de précieuse indications. Je décide quand même de m’allonger un peu, sur le canapé, histoire de me reposer, mais à peine ai-je fermé les yeux que le réveil se met en route... L’avantage au moins c’est que je n’ai pas besoin de faire d’effort pour me réveiller !
Départ :
Après avoir harnaché mon tracteur, je mets le contact…. Et BREuureuhReuuuh…. Rien ! Le voyant du point mort est faiblard, ça ressemble à une panne de batterie. Je décide alors de démarrer à la poussette, mais avec l’équipement plus le sol glissant du parking, rien nada, elle ne veut rien savoir. Cela fait une demi heure que je devrais être parti, je suis en sueur et légèrement énervé car je commence à envisager de prévenir Guillaume et Yannick que pour moi c’est foutu
… Je décide cependant de faire une dernière tentative, aidé cette fois par un voisin matinal, et après plusieurs BREuureuhReuuuhment de circonstance, ça démarre, ça ne tourne pas très rond, m’enfin ça tourne, on progresse… Remerciement rapide, et je file retrouver Yannick et Guillaume…
Rassemblement :
Arrivé à la station le moteur coupe… Toujours sous pression je bâcle les présentations, et expose directement mes problèmes
… Heureusement le moteur démarre, mais le ralenti ne tient pas… légèrement agaçé je mets deux tours à la vis de ralenti le moteur proteste en grondant, mais ne cale plus…
C’est alors qu’il me vient une idée saugrenue faire le plein, nous sommes à une station d’essence… Mais un employé de Carrouf vient nous annoncer que suite a une fausse manip il a planté les pompes… Y a des jours comme ça
….
La grande aventure :
Cette fois le plein est fait, et sous prétexte que je suis du coin et que je connais la route, les deux inconscients
me laisse le commandement, heureusement il s’agit de suivre la N7….
Connaissant la démultiplication courte de Fogia, je cale la vitesse de croisière sur un 70/80 en espérant toutefois que Yannick n’en souffrira pas trop… A Montargis une pause est décidée histoire d’absorber un peu de caféine, et de papoter un peu. Nous faisons plus ample connaissance, et c’est là pour la première fois que Yannick, nous parle d’un truc qui finira par friser l’obsession… C'est-à-dire des bienfaits de rouler en quinconce, avec Guillaume nous l’écoutons d’une oreille distraite
…
Puis c’est la remise en route, Fogia afin d’être certain que je sais lire les panneaux, me corne
a deux reprise a l’aide de son Fulguroklaxon Hyperchrome (© TWin 2004), j’ai donc ainsi l’insigne honneur d’avoir entendu le bidule… Je décide donc de le laisser passer devant, ça tombe bien il allait falloir quitter la N7 a un moment ou un autre
…
Et c’est alors que nous venons à peine de voir apparaître Coullons sur les panneaux, que Fogia sûrement afin de s’alléger pour consommer moins décide de se débarrasser de ses bouchons d’oreilles sur la route… (C’est pas bien
…) Ou alors craignait-il qu’il n’y ai pas de poubelles chez les Ed’s….
Coullons :
L’arrivé a Coullons des chevaliers de l’apocalypse
est un peu piteuse… En voulant s’arrêter et mettre sa béquille, le moteur de Guillaume coupe, et manifestement il n’y a plus de jus… Yannick en profite pour partir en reconnaissance…Guillaume arrive tant bien que mal à remettre en route, et nous voilà arrivé…. A l’étape…
Connaissant déjà TWin je ne suis pas surpris par le chaleureux accueil qu’ils nous réservent avec TWige, son SDS
…
Le petit déjeuné gentiment préparé est vite avalé
, et ce afin de pouvoir se pencher sur le problème de Guillaume. TWin manifestement se régale en dépiautant la brêle de Fogia, il tourne, virevolte… Le câblage du compte-tour provoque une moue dubitative d’Edvin, ce qui sera n’en doutons pas le facteur décisif de son ablation par un chirurgien au plus fort de son art… Enfin après quelques fusibles grillés le coupable est trouvé le Fulguroklaxon Hyperchrome (© TWin 2004)…
[color=000099]TWin en action sous le regard inquiet de Fogia[/color]
[color=000099]C’est le compteur….[/color]Le temps de tout remonter et une belle averse arrive, qui inquiète fortement Yannick, son B6 va être mouillé
….
Enfin c’est le départ pour Clermont, TWige, décline la proposition de voyager sur la confortable selle du B6, Yannick refait une tentative sur le quinconce, mais personne n’écoute
…
C’est donc TWin qui prendra la tête du cortège, puisqu’en duo, il est supposé être le plus lent…. C’était mal connaître L’Ed’… Fidèle à sa signature, l’ancienne, il met les GAS
! Le bougre file un bon 90/100 !!! Et nous lâche régulièrement, à tel point que pensant à Fogia je le rattraperai, péniblement une fois pour me mettre devant et le ralentir…J’ai sans doute tord, la route est droite et looooonnnngue…
Une pose Mc Do, nous permettra de nous rendre compte que nous sommes bien en province, pas de stress pour le service, c’est looooong
!
Puis à nouveau la route entrecoupée de pose pipi et ravitaillement, ce fût l’occasion de découvrir le fan club de TWin…
[color=000099]Tu nous avais caché çà !! TWige est au courant ?[/color] Quelques échanges de messages pour tenir au courant Xfreeman
, il n’était alors pas complètement libre du X, et Légion de notre heure supposée d’arrivée à Clermont place Jaude….
Clermont :
Arrivé à Clermont, cette place que tout le monde connaît, pour avoir un jour ou l’autre traversé ou visité Clermont, personne ne sait la situer, pour tout arranger tout le secteur est en travaux…Même les indications des autochtones sont floues, en désespoir de cause, l’idée de tourner en rond est émise, le rafût amplifié par l’étroitesse des rues devant permettre a Freeman et Légion de nous localiser !
Finalement nous nous résoudrons à fermer les yeux sur le code de la route pour emprunter un passage interdit à toutes circulations, qui nous mènera à notre Grâal la place Jaude… Ou nous retrouvons Freeman et Légion ! Présentation rapide, Ouf… Avec des cheveux y fait moins peur le Légion
, au passage il me coupe le contact pour éteindre mes feu (ce qui deviendra le passe temps favoris de tous a chaque arrêt !)… Rien à voir avec la photo qu’il a mis un moment, quand à Freeman il porte un antivol autour du coup, cadeau de sa brêle pour lui montrer son attachement, et qu’on lui pique pas son pilote
…
Bref à peine arrivé, on repart TWige suivant le conseil de Freeman accepte à contre cœur de grimper sur le B6, son regard inquiet, nous serre le cœur….
Pourtant elle ne le quittera plus ! (Le B6)
1er gîte :
Arrivée au gîte, présentation de Michel ( Onc’BM heureux possesseur d’un trois pièce cuisine avec chauffage individuel sur deux roues), après une inspection des brêles suivi d’un cours sur la conserverie et la plomberie de TWin, nous dînons !
Le repas est l’occasion pour nous d’évoquer le forum
, et les exploits qui y sont régulièrement relaté, souvent au détriment de leur conteur. Fogia nous détaille son projet de dérailleur, à laquelle on adjoint aussitôt celle de plateau a l’avant, Fogia estimant alors pouvoir atteindre plus de 160 Km/h sans forcer …Ce fût également une séance digne de l’inquisition concernant les Ed’s, ces derniers étant sommés de nous donner les secret de la philosophie de Hog
. Un moment est même évoqué la fameuse formation en quinconce, suscitant toujours autant d’intérêt
… C’est a peu près à ce moment, alors qu’on nous demandait si nous voulions un café, que j’entendis clairement quelqu’un imiter ma voix et demander une verveine
!! Ne voulant pas gâcher, je me suis résolut à absorber ce breuvage, mais je reste quand même sur le cul, du culot et de la perfection de l’imitation
…
Un dernier tour pour vérifier que les bécanes n’on pas bougés, et rassurer Freeman, qui des trémolos dans la voix nous avoue que la sienne n’a jamais couché dehors
…
Freeman, Michel et Yannick décident de se mesurer au Ping Pong
, les autres plus sages décident d’aller se coucher.
Un dernier regard sur ma montre, il est 23h30, cela fait 35h que je n’ai pas dormi… Je n’entendrai même pas les pongistes rentrer (Yannick et Freeman), ni sangloter une partie de la nuit suite à leur défaite…. Dixit Vincent et Guillaume….
[color=000099]Le réveil a été plus dur pour certain que d’autre…[/color] Le lendemain tout le monde se retrouve au p’tit dej, le temps n’est pas fameux, mais dans le regard de tout le monde brille une petite lueur de satisfaction emprunt de fierté et d’un je ne sais quoi… de Biwidilliste quoi
... Devant la perspective d’un temps qui semble se lever, nous temporisons un peu le départ, cela permet à Freeman et Yannick de constater les outrages que la nature à infliger a leur monture…Par pudeur nous détournons le regard
…
[color=000099]Sa majesté Brelon entouré de sa cour, au fait y sont ou les T2 ?[/color] Puy de Dôme :
L’ascension du Puy de Dôme, fût un vrai régal pour les yeux les paysage bien mis en valeur par une lumière tamisée par des nuages, superbe ! Au sommet c’est un peu différent on se croirait au mois de novembre… Le spectacle des nuages qui défile a toute vitesse autours de nous, nous avons la tête dans les nuages au sens propre, est tout bonnement magique ! Nous décidons alors de nous mettre a l’abris, afin d’envoyer des nouvelles par SMS.
[color=000099]Premier ou dernier ?[/color]
[color=000099]repos mérité pur nos montures.[/color]
[color=000099]Le 1200RT de Michel et le B6 de Yannick, qui ont été de véritable anges gardiens pour les Tiwis[/color]
[color=000099]Dans le froid nous essayons de trouver le gîte d’où nous venons.[/color]
[color=000099]Bon alors on lui dis quoi a hog ? Hum ?[/color]
[color=000099]Pierre se réveil doucement…[/color] La descente se fera en ce qui me concerne au point mort, a plus de 80 Km/h dans un silence reposant permettant de profiter une fois de plus du paysage. En bas un freinage appuyé me fera laisser un peu de gomme, ici est passé le premier BWD !
Essai Brelon :
A l’occasion d’une halte a Montlosier suite a un besoin pressant de certain, ce seront toujours les mêmes…
Je teste la 200 de Freeman… Que du bonheur…
Le simple fait de passer la première me fait comprendre à quel point 75 cm3 peuvent faire la différence. Ca pousse fort, de toute façon même si ça ne poussait pas fort, le pot se chargerait de vous le faire croire. C’est impressionnant l’alchimie qu’a réalisé Freeman est géniale
, même le guidon, avec sa position un peu plus avancé contribue à améliorer de façon spectaculaire la maniabilité, c’est tellement impressionnant, que n’étant pas maso, et me souvenant de mon tracteur je décide d’écourter l’essai… Parce que franchement remonter sur sa 125 après ça fait mal
… Fogia en profite à son tour, et fera sensiblement le même constat que moi, on veut la même !
[color=000099]T’inquietes pas Freeman je vais y faire attention…[/color]Mont d’Or :
Puis la route telle la mer nous lance l’appel du bitume, permettant a Légion de vérifier sa maîtrise du démarrage à la poussette, et nous suivons à nouveau l’homme libre qui nous mène à Orcival qui nous offrira le spectacle de sa magnifique église, romane si j’en crois le CR de Freeman et TWige.
Puis ce fût le passage au lac de Guéry, qui nous offre un point de vu superbe sur les roches Tuillière et Sanadoire, décidément il nous gâte.
Direction le Mont d’Or, et un abreuvoir pour nos montures et nous restaurer, Yannick en profite, pour décrasser ses bougies… Se plante sur la direction…
Nous arrivons finalement en ville ou pour stationner un commerçant nous indique un emplacement qui nous oblige a faire un peu de trial avec des escaliers.
Lors du repas ma commande soulève l’indignation outrée d’une minorité dirigée par TWige… Je tiens cependant bon
! Et ce n’est pas la gaufre anémique commandé par les Ed’s qui me fera changer d’avis. En revanche la tarte Tatin pourrait éventuellement me faire changer d’avis, mais comme manifestement il ne plante les pommiers qu’après la commande je décide de m’abstenir, ce qui n’est pas le cas des autres qui suivent Freeman….
En récupérant nos monture, Freeman et TWin nous font une démonstration de grimpage de marche, TWin trouvant enfin une justification à la bavette qui pendouille sous sa plaque et la reconverti pour l’occasion en sécurité anti-basculement…
Puis nous avons repris la route TWin essayant le Brelon, la cadence s’accélère, et ne baisse pas loin de là quand Vincent se met aux commandes… Un peu largué, j’en profite pour observer Michel faire sa gym sur son 1200RT, c’est … Surprenant et démontre une belle maîtrise du truc, je comprend mieux maintenant l’aisance de Légion.
[color=000099]Je vous l’ai dis avec des cheveux, il ne fait pas peur.[/color]
[color=000099]Michel et Freeman au prochain BWD je chippe le réveil de Michel ![/color] Néanmoins il ne faut pas trop se faire larguer, il me faut donc forcer un peu et là ça ne va pas… Deux virages bien plantés, dont un qui me permet d’apprécier d’un peu trop près à mon goût le grain des strates de calcaires
me font comprendre qu’il est plus sage pour moi d’adopter un rythme plus cool… Trop cool sans doute puisqu’a l’arrêt suivant je me gaufre en descendant de ce qui restera dans les anales comme un ravin de 15 cm…. A part mon amour propre
pas de blessure, et pour mon tracteur juste le fil de masse du feu arrière qui s’est dessoudé (m’occasionnant une consommation d’ampoules impressionnantes), mais ça je ne le verrais que plus tard, dans l’immédiat nous constatons juste que mes deux ampoule de feu arrière ne fonctionnent plus.
Profitant de la présence d’un atelier de réparation moto, nous nous y arrêtons avec Fogia, afin d’y faire des emplettes, deux ampoule et un fusible de 20A, au passage la clientèle en profitera pour venir détailler nos brêles qui avec leurs gros pneu et harnachement en impose quand même un peu, seul la cylindré les fera fuir…
Nous rejoignons les autres au château de val, célèbre pour avoir servi de décors à un film avec Jean Marais ou ce dernier a grimpé ses parois… Chacun s’éparpille un peu, certain faisant la sieste, d’autre jouant la carte culture (ou tout du moins ont fait semblant), d’autre satisfaisant des besoins naturels… Ou encore smssait….
[color=000099]C’est de l’autre coté que J.Marais, a fait grimpette.[/color]
[color=000099]Dis TWige elle parlais de quoi la vidéo ?[/color]
[color=000099]Euuuh… Tu sais Yannick, il y a des toilettes a l’accueil, t’inquietes pas, je te floute, comme pour Freeman, personne ne te reconnaîtra….[/color] Puy Mary :
Puis nous avons repris la route, avec des paysages toujours aussi magnifiques, une dernière pose puis nous attaquons la montée du Puy Mary ou pour la première fois mon tracteur donne des signes de faiblesses, et proteste a force d’accoup et de pétarade…Mais en haut le spectacle vaut le coup, les lumières du couchant donnent un coté presque surnaturel au paysage, rien que pour ça je serai venu. TWige envisage un moment de poursuivre l’ascension a pied, mais l’heure tardive nous contraint à redescendre sans tarder au gîte, non sans avoir fait une petite parade pour la vidéo.
[color=000099]Malheureusement pas de photos pour cause de défaut de maitrise de mon APN, mais c’était magnifique.[/color] 2em gîte
Au gîte l’accueil est sympa, on pousse les véhicules pour que l’on puisse rentrer nos brêles, en échange nous acceptons de ne pas nous mettre devant l’issue de secours…
[color=000099]la transparence du plastique arrière du Brelon lui fait un cul de babouin la nuit…[/color] Le repas est vite expédié, et les discussions après répartitions des deux ronfleurs, identifié, dans la chambré tournent sur la meilleur façon de raccourcir l’itinéraire du lendemain pour finalement aboutir a une remonté directe vers le nord… Au passage Freeman entre sa conjonctivite et la patate qui lui fait office de main a un p’tit air de Joseph Carey Merrick
Le réveil est brutal me rappelant de lointain souvenir
, Vincent arrive bien a obtenir un répit mais le mal est fait… C’est dur d’autant qu’un troisième ronfleur s’est parait-il déclaré dans la nuit
…
Le petit déj’ est copieux et nous permet de nous réveiller en douceur, au détriment d’une population cycliste à la tenue disons voyante…
Juste avant le départ Freeman nous demande de faire un effort et de rouler groupé pour la vidéo, Yannick nous reparle quinconce
, c’est ce qui fera échouer le truc…
Les routes sont plus roulantes que la veille mais le décor ne change pas pour notre plus grand plaisir. Freeman repropose une dernière fois un tour de 200, il me regarde, j’hésite… Mais pas Michel, à peine avons-nous démarré qu’il est déjà loin…Le ton est donné… Yannick lors de son essai gardera le même rythme, mais pas la même direction…
Bye l’homme libre :
Puis vint l’heure de la première d’une longue série de séparation, nous alignons une dernière fois les brêles, les dernières photos puis Freeman fais le générique du film…
L’avantage avec le pot de Freeman c’est que bien qu’il soit parti, au loin le bruit faisait qu’il était encore un peu avec nous….
[color=000099]5 Tiwis venue de toute la France, le BWD s’achève.[/color] Puis cela n’a été que de la roule, pour un fois Légion n’était pas devant, et ou je dois l’avouer nous avons un peu oublié Fogia… sur l’A71 les 13,5 poneys sont lâchés et donnent toutes leur mesures…l’arrêt a une station service se fait de justesse pour Légion, TWin lui rate complètement l’entrée, Fogia lui à le temps de bien viser…
Puis ce fût la séparation d’avec les Alsaciens…
Et le long ruban continuait de défiler… Nous nous autorisons juste une pause déjeuner, qui sera à l’image de tous les autres un bon moment de détente, nous devons juste planquer la carte des desserts pour que Yannick ne remarque pas qu’il y a de la tarte Tatin…
Le retour se fait à un rythme rapide, c’est TWin qui ouvre la route. Quand au dépassement d’anthologie de Fogia, il faut reconnaître qu’il nous a eut en beauté, pour moi TWin passait limite et moi peut être en forçant un peu et mordouillant les zébras, alors quel ne fût pas ma surprise quand je ai entendu puis vu débouler sur la gauche a toute allure…Un truc orange bardé de gourde… ma seul réaction a été de le saluer de la main gauche, j’était mort de rire sous mon casque ! Pendant que le bolide orange foulait allégrement les zébras de ses pataugas. C’est dur à raconter il faut le vivre !
Sinon, le seul autre événement notable jusqu'à Coullons sera le dépassement d’un c….. Plus que limite sur TWin, étant derrière j’ai eu peur, très peur…
Du coup Yannick prend les choses en main et nous pouvons bénéficier de son aspi… Et nous en profitons pour nous livrer à quelques exercices de décontraction ensemble… Spectacle surréaliste j’imagine pour ceux qui nous ont vu pratiquer en rythme.
A Coullons, L’un des Ed’s se jette sur le forum, l’occasion pour nous d’essayer de chopper Hog, mais ils ne répond pas à notre réponse… Encore une séparation le groupe fond a vu d’œil… Cette fois c’est moi qui suis en tête, je merdouille un peu a Nemours on traverse au lieu de contourner, pourtant je le savais… Seul j’aurais sans remord adopter un conduite Parisienne…
Puis à la hauteur de Fontainebleau, Yannick nous salut et met les gaz, c’est qu’il y tient à son film de 21h… Nous continuons avec Fogia via l’A6 jusqu'à Corbeil ou le hasard fait que Fogia fait son dernier plein à la station ou j’ai fait mon premier plein du BWD. Je le dépose à l’entrée de la Francilienne, puis je me dépêche de rentrer, c’est fini le bon temps….
Voilà c’était mon Big Wheel Day, un événement riche de tout, émotion, sensation…
Comme le Freeman m’a piqué, involontairement, l’idée de fin je ne vais pas le singer, d’autant que je suis d’accord avec lui
, mais je voudrais juste vous dire que Freeman lui non plus ne correspond pas trop a l’image que l’on, pardon que je m’était faite de lui, c’est quelqu’un qui ne se le pète pas pour un rond d’un extrême gentillesse quand à la sensibilité il n’a rien a m’envier. Pendant que j’y suis merci pour le fantastique travail de repérage que tu as fait.
Merci aussi a Yannick pour avoir eu l’idée, et avoir patiement veillé sur les p’tites Tiwis du haut de ton gros B6.
Merci également, par ordre d’apparition
a Fogia, TWin & TWige, Legion et Michel vous tous avez permis que ce BWD soit une véritable réussite.
